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      Pour cause de droit réservé sur la diffusion du film, il m'est impossible d'insérer la vidéo.

    Pour le voir merci de cliquer sur le lien Youtube

    http://www.youtube.com/watch?v=NNGDj9IeAuI&feature=player_embedded

     

    Bonne séance !!!!!!!!!!!!


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  • Je vous souhaite une bonne année 2010, que cette année soit une évolution pour l'environnement et que plus de monde prennent concience de l'enjeu
     
     
    La terre, notre mère à tous.
     
    PROTEGEONS LA !! 

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  • Une montagne de chiffres à méditer, alerter, ingurgiter, digérer, analyser, comprendre, réduire, modifier,

    Plus de la moitié de l'eau potable des États-Unis va au bétail.

    Il faut 5.000m² (1/2 ha) de terre cultivable pour produire 70 kg de boeuf ou 10.000 kg de pommes de terre.

    De 7 à 16 kg de céréales ou de produits végétaux sont nécessaires pour produire 1 kg de viande.

    Il faut 30.000 à 60.000 litres d'eau pour faire 1 kg de viande de boeuf et 800 litres d'eau pour 1 kg de blé.

    Près de 50% de toutes les récoltes alimentaires dans le monde sont mangées par le bétail.

    64% des terres cultivables du monde servent à la production de viande (pâturage et fourrage).

    Un « Multi Dommage » s'ouvre toutes les 17 heures dans le monde ce qui entraîne la désertification de 125 km² par jour de forêt humide.

    Les pays industrialisés avec 26% de la population mondiale utilisent 56% des ressources alimentaires.

    Il faut 5 kg de poissons pour produire 1 kg de farine ; il faudra 5 kg de cette farine pour qu'un boeuf ou un porc produise 1 kg de viande. Donc 25 kg de poissons pour 1 kg de viande !

    Une ferme de saumons de 8 ha aux USA produit autant de déchets qu'une ville de 100.000 habitants.

    La consommation mondiale d'engrais de synthèse est passée de 7 millions de tonnes en 1945, à 53 millions de tonnes en 1968, et atteint 150 millions de tonnes par an aujourd'hui.

    500 pesticides différents sont employés dans « l'industrie culture » : 1,5 à 2 tonnes / par ha / par culture / par an, en Europe.

    En 1997, la quantité d'antibiotiques utilisée dans l'Union européenne s'est élevée à 10.493 tonnes.

    Plus de 80 produits différents peuvent être injectés aux cochons modernes avant d'être abattus.

    Les producteurs de volailles, de porcs, de bovins et poissons utilisent au Canada plus de 20.000 tonnes d'antibiotiques par an en injections, ou incorporées à la moulée.

    80% des animaux élevés en batterie sont malades.

    Une trentaine d'hectares de forêts sont détruites chaque minute.

    300 tonnes d'humus disparaissent chaque minute.

    Les excréments de bétail représentent 110 tonnes par seconde pour les USA et l'Europe : cela entraîne 50% de toute la pollution des nappes phréatiques du monde.

    En Thaïlande, ont été produites en région marécageuse, 120.000 tonnes de crevettes sur 5 ans, qui ont ravagé les marécages en détruisant 800.000 tonnes d'autres espèces.

    Plus de 75% des terres arables qui existaient lorsque les Européens colonisèrent l'Amérique ont disparu.

    Environ 97% des variétés de légumes qu'on trouvait habituellement sur la liste du ministère de l'Agriculture des États-Unis sont maintenant considérées comme disparues.

    Le bétail des pays riches mange autant de céréales que les Indiens et les Chinois réunis.

    Un boeuf fournit 200 kg de viande, soit 1.500 repas. Les céréales qu'il a mangées auraient pu servir 18.000 repas.

    La consommation de « viande » utilise 60% des réserves d'eau mondiale.

    Il faut 400 litres d'eau/heure, 24h/24h pour faire face aux besoins alimentaires d'une seule personne carnivore.

    Plus de 50 millions d'enfants meurent de faim chaque année.

    Un Américain sur trois et un Français sur quatre sont obèses.

    En une année, vous absorbez environ 2,7 kg d'additifs, surtout les enfants, avec les sucreries et les boissons artificielles.

    71% des graisses et protéines qui sont consommées en France sont d'origine animale.

    90% de tous les résidus de pesticides se retrouvent dans les produits animaux alors que les fruits, les légumes et les céréales en recèlent moins de 10%.

    Pour fournir 50 kg de protéines, un animal a du consommer au minimum 800 kg de protéines végétales.

    5 espèces végétales sont définitivement perdues chaque jour.

    Tout individu supplémentaire dans les pays riches « pèse » aussi lourd sur l'environnement que 20 Indiens ou Bengalis.

    Nous avons fait plus de dégâts en 30 ans que depuis que l'homme existe sur la terre.


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  • La Terre possède un satellite naturel, la Lune, et de nombreux satellites artificiels. On lui associe aussi l'astéroïde (3753) Cruithne et d'autres astéroïdes géocroiseurs. Que le diamètre apparent de son satellite naturel (la Lune) soit presque égal à celui de son étoile (le Soleil) est une caractéristique distinctive de la Terre. Quoique le satellite galiléen Callisto a aussi un diamètre apparent comparable à celui du Soleil, vus depuis la surface de Jupiter.

    Les marées et la précession des équinoxes sont provoquées par la Lune et le Soleil.

    L'interaction de marée entre la Terre et la Lune ralentit la rotation de la Terre, cette rotation se produit actuellement à une vitesse angulaire de : 72,921 151 467 064 x 10-6rad/s ; soit une période sidérale de 23 h 56 min 4,099 s. Le jour sidéral augmente en moyenne de 2 millisecondes par siècle (mais les variations erratiques sont de l'ordre de la milliseconde par jour) ; en même temps que la Lune s'éloigne de 3,84 cm/an. L'étude des coraux fossiles confirme ce mécanisme séculaire.


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  • La Terre est entourée d'une enveloppe gazeuse qu'elle retient par attraction gravitationnelle : l'atmosphère.

    Cette atmosphère donne à la planète un reflet bleuté depuis l'espace, d'où son surnom de « planète bleue » : la constitution et la densité de l'atmosphère sont telles que la lumière incidente du Soleil et la lumière réfléchie par les continents et les mers sont diffractées (donnant sa couleur au ciel, et par réflexion, aux étendues d'eau).

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>Constitution

    Cette enveloppe, dont la masse globale est de l'ordre de 5 x 1018 kg (un millionième de la masse de la Terre), est contenue à 99 % dans les 30 premiers kilomètres (50 % dans les 5 premiers kilomètres).

    La basse atmosphère (du niveau de la mer jusqu'à environ 45 km) est composée de gaz « permanents », gaz dont les proportions restent constantes, et de gaz de concentration variable avec l'altitude.

    L'azote, l'oxygène et l'argon constituent, en volume, 99,997 % des gaz permanents (voir tableau ci-dessus) ; le brassage vertical de l'air permet de conserver une répartition constante à tous les niveaux, même pour les gaz les plus légers, tels que l'hélium ou l'hydrogène.

    Les gaz à concentration variable sont essentiellement la vapeur d'eau H2O ; et dans une moindre mesure le dioxyde de carbone CO2, le dioxyde de soufre SO2 et l'ozone O3. L'atmosphère terrestre peut être considérée, à un instant donné, comme un mélange thermodynamique d'air sec et de vapeur d'eau.

    Les particules liquides, solides, liquides ou mixtes en suspension dans l'atmosphère constituent l'aérosol atmosphérique.

    Ces particules jouent un rôle primordial dans les phénomènes de condensation (nuages) et de formation de cristaux de glace, ainsi qu'à différents processus physicochimiques dans l'atmosphère. Leur concentration varie de plusieurs puissances de 10 (de plusieurs ordres de grandeurs) en fonction du lieu et du temps ; en concentration élevée, elles constituent un facteur de pollution. Les particules se classent en  :

    • particules d'Aitken : 1 nm < d < 0,1 µm
    • grosses particules : 0,1 µm < d < 5 µm
    • particules géantes : 5 µm < d < 50 µm environ

    L'atmosphère atténue de façon importante le rayonnement solaire reçu au sol ; suivant l'importance de la couverture nuageuse, le sol reçoit de 68 % à 28 % (ou moins) du rayonnement solaire parvenant à l'atmosphère.

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>Structure de l'atmosphère

    La composition chimique de l'atmosphère, sa température, ou les phénomènes qui y sont observés présentent des discontinuités marquées lorsque l'altitude augmente. Ces discontinuités correspondent à des couches homogènes dont les propriétés évoluent de façon continue ; ce sont (par altitude croissante) :

    • la troposphère
    • la stratosphère
    • la mésosphère
    • la thermosphère
    • l'exosphère

    Les limites de ces couches (d'altitude variable) ont reçu des désignations particulières : tropopause, stratopause, mésopause et thermopause.


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